Lorsque j’ai lu l’article de L’OIE BLANCHE du mercredi 21 octobre dernier concernant le musclé déficit financier de la fête musculaire présentée à Montmagny l’été dernier (machinsimus), j’ai fait ho! Mais quand j’ai vu qu’on avait aussi syphonné 190 000 des 200 000 $ du fonds spécial du Pacte rural pour soutenir ce cirque, ce n’est pas une odeur de muscle qui m’est montée au nez…
Quand on occupe un ou des postes dans un ou des organes de pouvoir, l’on peut user de son influence : « L'aide financière est une subvention dont le montant est déterminé par la MRC », peut-on lire dans le feuillet d’information concernant le pacte rural. Il peut être alors plus facile de se faire allonger l’oseille, à hauteur de 95% du total de la caisse, pour voltiger dans les hautes sphères de la stratosphère avec l’argent du peuple!
Pendant ce temps, d’autres organismes qui se débattent comme des diables dans l’eau bénite pour survivre, doivent eux éponger leur déficit, si petit soit-il, parce que certaines sommes promises n’ont pas été versées. Et dire que le président de la « patente à gros bras » se présente comme candidat libéral à la prochaine élection partielle fédérale dans le comté…
Richard Lavoie
Berthier-sur-Mer
lundi 26 octobre 2009
mardi 20 octobre 2009
Des calendes à la calandre
«Relayer aux calandres», et «grecques» en plus!
Ha! ha! ha! Ououâââhaha! J'ai ri à me décrocher la mâchoire à la lecture de votre jeu de mots sur les «calandres grecques»!
Ha! ha! Hi! hi! Hou! hou! Ououâââhahahaha! D'autant plus que vous «la relayez» ! Mais vous ne m'avez pas eu là non plus. J'ai bien compris que vous vouliez faire une autre allusion aux Grecs en parlant de la course à «relais», une discipline aussi olympique que grecque! La fin de votre éditorial du 7 octobre montre bien votre capacité à «manipuler» un texte!
Mais, surtout, pauvre langue française ainsi massacrée en éditorial.
Je pense qu'il faut vous lire avec une grande attention parce que vous - traitez parfois trop de sujets en trop peu de temps; dans la livraison du 7 octobre de L'Oie blanche, par exemple, vous avez fait du «hockey de rattrapage» en abordant cinq ou six sujets.
- vous traitez souvent les sujets de manière superficielle, comme dans la blague locale «Mais où est donc Éric Bernard?» Pour ma part, je ne me suis pas demandé «où», mais bien «qui» il était.
- vous traitez parfois les sujets sans avoir l'air d'y toucher. Visiblement partisan d'un fédéralisme étroit, vous vous en prenez aux «intellectuels péquistes qui ont encensé Pierre Falardeau», laissant sous-entendre qu'il n'y avait que les intellectuels pour l'aimer. Si vous aviez suivi un peu sa carrière au lieu de le détester, vous auriez certainement compris que Pierre Falardeau était avant tout quelqu'un qui défendait les faibles, les sans-voix et les non possédants, et que sa voix forte ne permettait nullement de l'associer au terrorisme. Je prendrai donc la défense de M. Falardeau pour démolir votre argumentation vicieuse qui associe à l'appui donné par Frédéric Mitterand à un criminel (Polanski) les hommages faits à un homme mort qui ne peut se défendre contre un éditorialiste qui l'accuse, sans preuve, d'avoir frayé avec des terroristes. Pierre Falardeau vous aurait sans doute traité de «... de tordu».
Peu élégante, la formule aurait eu le mérite d'être plus franche que la vôtre.
Jude Des Chênes
Saint-Aubert
Ha! ha! ha! Ououâââhaha! J'ai ri à me décrocher la mâchoire à la lecture de votre jeu de mots sur les «calandres grecques»!
Ha! ha! Hi! hi! Hou! hou! Ououâââhahahaha! D'autant plus que vous «la relayez» ! Mais vous ne m'avez pas eu là non plus. J'ai bien compris que vous vouliez faire une autre allusion aux Grecs en parlant de la course à «relais», une discipline aussi olympique que grecque! La fin de votre éditorial du 7 octobre montre bien votre capacité à «manipuler» un texte!
Mais, surtout, pauvre langue française ainsi massacrée en éditorial.
Je pense qu'il faut vous lire avec une grande attention parce que vous - traitez parfois trop de sujets en trop peu de temps; dans la livraison du 7 octobre de L'Oie blanche, par exemple, vous avez fait du «hockey de rattrapage» en abordant cinq ou six sujets.
- vous traitez souvent les sujets de manière superficielle, comme dans la blague locale «Mais où est donc Éric Bernard?» Pour ma part, je ne me suis pas demandé «où», mais bien «qui» il était.
- vous traitez parfois les sujets sans avoir l'air d'y toucher. Visiblement partisan d'un fédéralisme étroit, vous vous en prenez aux «intellectuels péquistes qui ont encensé Pierre Falardeau», laissant sous-entendre qu'il n'y avait que les intellectuels pour l'aimer. Si vous aviez suivi un peu sa carrière au lieu de le détester, vous auriez certainement compris que Pierre Falardeau était avant tout quelqu'un qui défendait les faibles, les sans-voix et les non possédants, et que sa voix forte ne permettait nullement de l'associer au terrorisme. Je prendrai donc la défense de M. Falardeau pour démolir votre argumentation vicieuse qui associe à l'appui donné par Frédéric Mitterand à un criminel (Polanski) les hommages faits à un homme mort qui ne peut se défendre contre un éditorialiste qui l'accuse, sans preuve, d'avoir frayé avec des terroristes. Pierre Falardeau vous aurait sans doute traité de «... de tordu».
Peu élégante, la formule aurait eu le mérite d'être plus franche que la vôtre.
Jude Des Chênes
Saint-Aubert
mardi 13 octobre 2009
L'Islet redira non à la fusion
Réponse à l'article «L'Islet dit non à la fusion» publié le 7 octobre en page 3 du journal L'Oie blanche.
Étant présent à l'assemblée de L'Islet le 28 septembre, j'ai été témoin du rejet massif de la proposition dans une proportion de 68%. Message assez clair, merci ! Un vote officiel, dans une réunion officielle.
Il semblerait, d'après l'article du 7 octobre, que les dirigeants des deux caisses «poursuivront leurs efforts en ce sens», soit pour la fusion. Les dirigeants de L'Islet ont donc l'intention de ne pas respecter la décision de leurs membres en ce qui touche la fusion. Vive la démocratie! Voilà qui est très sérieux...
Après un rejet aussi clair du projet de fusion avec Montmagny, je tiens à aviser les dirigeants des deux caisses, et tout spécialement ceux de L'Islet, que la moindre récidive en ce sens sera perçue comme un non-respect du vote des membres, avec toutes les conséquences que cela implique.
Si les dirigeants actuels doutent encore qu'il y a eu mobilisation dans l'épineux dossier de la relocalisation du siège social à L'Islet, je ne voudrais pas être dans leurs souliers pour voir la réponse à une nouvelle tentative de fusion avec Montmagny.
Avec un peu d'humilité, acceptez donc le verdict de vos membres. Il en va du bien de l'institution et de ses représentants.
Je réitère le message «L'Islet dit non à la fusion».
Gaston St-Pierre
Ancien dirigeant de la caisse de L'Islet.
Étant présent à l'assemblée de L'Islet le 28 septembre, j'ai été témoin du rejet massif de la proposition dans une proportion de 68%. Message assez clair, merci ! Un vote officiel, dans une réunion officielle.
Il semblerait, d'après l'article du 7 octobre, que les dirigeants des deux caisses «poursuivront leurs efforts en ce sens», soit pour la fusion. Les dirigeants de L'Islet ont donc l'intention de ne pas respecter la décision de leurs membres en ce qui touche la fusion. Vive la démocratie! Voilà qui est très sérieux...
Après un rejet aussi clair du projet de fusion avec Montmagny, je tiens à aviser les dirigeants des deux caisses, et tout spécialement ceux de L'Islet, que la moindre récidive en ce sens sera perçue comme un non-respect du vote des membres, avec toutes les conséquences que cela implique.
Si les dirigeants actuels doutent encore qu'il y a eu mobilisation dans l'épineux dossier de la relocalisation du siège social à L'Islet, je ne voudrais pas être dans leurs souliers pour voir la réponse à une nouvelle tentative de fusion avec Montmagny.
Avec un peu d'humilité, acceptez donc le verdict de vos membres. Il en va du bien de l'institution et de ses représentants.
Je réitère le message «L'Islet dit non à la fusion».
Gaston St-Pierre
Ancien dirigeant de la caisse de L'Islet.
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