«Relayer aux calandres», et «grecques» en plus!
Ha! ha! ha! Ououâââhaha! J'ai ri à me décrocher la mâchoire à la lecture de votre jeu de mots sur les «calandres grecques»!
Ha! ha! Hi! hi! Hou! hou! Ououâââhahahaha! D'autant plus que vous «la relayez» ! Mais vous ne m'avez pas eu là non plus. J'ai bien compris que vous vouliez faire une autre allusion aux Grecs en parlant de la course à «relais», une discipline aussi olympique que grecque! La fin de votre éditorial du 7 octobre montre bien votre capacité à «manipuler» un texte!
Mais, surtout, pauvre langue française ainsi massacrée en éditorial.
Je pense qu'il faut vous lire avec une grande attention parce que vous - traitez parfois trop de sujets en trop peu de temps; dans la livraison du 7 octobre de L'Oie blanche, par exemple, vous avez fait du «hockey de rattrapage» en abordant cinq ou six sujets.
- vous traitez souvent les sujets de manière superficielle, comme dans la blague locale «Mais où est donc Éric Bernard?» Pour ma part, je ne me suis pas demandé «où», mais bien «qui» il était.
- vous traitez parfois les sujets sans avoir l'air d'y toucher. Visiblement partisan d'un fédéralisme étroit, vous vous en prenez aux «intellectuels péquistes qui ont encensé Pierre Falardeau», laissant sous-entendre qu'il n'y avait que les intellectuels pour l'aimer. Si vous aviez suivi un peu sa carrière au lieu de le détester, vous auriez certainement compris que Pierre Falardeau était avant tout quelqu'un qui défendait les faibles, les sans-voix et les non possédants, et que sa voix forte ne permettait nullement de l'associer au terrorisme. Je prendrai donc la défense de M. Falardeau pour démolir votre argumentation vicieuse qui associe à l'appui donné par Frédéric Mitterand à un criminel (Polanski) les hommages faits à un homme mort qui ne peut se défendre contre un éditorialiste qui l'accuse, sans preuve, d'avoir frayé avec des terroristes. Pierre Falardeau vous aurait sans doute traité de «... de tordu».
Peu élégante, la formule aurait eu le mérite d'être plus franche que la vôtre.
Jude Des Chênes
Saint-Aubert
mardi 20 octobre 2009
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