Bravo à Antoine de la Durantaye pour sa rafraîchissante lucidité
Dans la flopée de récompenses accordées à toute sauce plus ou moins savoureuse, il est rare que le français se mérite un hommage aussi important chez nous, voire même au Québec. Je ne peux m'empêcher de relever à nouveau le prix remporté par ce jeune Antoine de la Durantaye dans une région où l'analphabétisme est omniprésent et où l'engouement pour la lecture et la qualité de la langue ne sont pas légion. De là sûrement, et en partie, nombre de choix illogiques et de comportements incompréhensibles et inconséquents chez plusieurs de nos concitoyens. Donnons simplement en exemple l'opinion à laquelle nous réfère avec justesse, et toujours dans un excellent français, M. Marcellin Bélanger dans la dernière édition de l'Oie Blanche. Il est notoire qu'une saine compréhension des choses passe par la maîtrise et la bonne compréhension de la langue. En témoigne aussi ce prix accordé à M. de la Durantaye pour sa jeune sensibilité et sa rafraîchissante lucidité envers le français. Bravo à toi Antoine ainsi qu'aux autres gagnants pour ces prix prestigieux et espérons qu'ils auront la portée que vous souhaitez. Cette reconnaissance nous change des prix remis pour des événements bidons, des ambitions ambiguës et aux vedettes modes instantanées que l'on oublie sur-le-champ. Tiens bien haut ce flambeau de notre langue Antoine et tu n'auras jamais à le regretter.
Marcellin C. Després
Saint-Cyrille-de-L'Islet
mardi 28 avril 2009
Un barbarisme
À Monsieur le maire de Montmagny et à Monsieur le préfet de la MRC,
La MRC se propose de nommer un ancien bâtiment de Whirpool «place» Bélanger. Le mot est un barbarisme largement utilisé au Québec, mais un barbarisme
quand même. Il désigne, en français, un espace entouré de voies de communication et de bâtiments. Il ne peut désigner un édifice. On pourra contre-vérifier l'affirmation auprès de l'Office de la langue française.
Il y aurait lieu de soumettre l'idée ou le projet à des linguistes ou à des citoyens préoccupés par la qualité de la langue.
Pour leur part, les membres de l'Association pour le soutien et l'usage de la langue française espèrent que la MRC fera tout en son pouvoir pour rectifier l'incorrecte appellation dont parlent les journaux locaux (L'Oie Blanche, 1er avril; Le Peuple, 1er avril également) et que le maire et les conseillers de la ville soutiendront la démarche.
Gaston Bernier
président de l'Asulf
Québec
La MRC se propose de nommer un ancien bâtiment de Whirpool «place» Bélanger. Le mot est un barbarisme largement utilisé au Québec, mais un barbarisme
quand même. Il désigne, en français, un espace entouré de voies de communication et de bâtiments. Il ne peut désigner un édifice. On pourra contre-vérifier l'affirmation auprès de l'Office de la langue française.
Il y aurait lieu de soumettre l'idée ou le projet à des linguistes ou à des citoyens préoccupés par la qualité de la langue.
Pour leur part, les membres de l'Association pour le soutien et l'usage de la langue française espèrent que la MRC fera tout en son pouvoir pour rectifier l'incorrecte appellation dont parlent les journaux locaux (L'Oie Blanche, 1er avril; Le Peuple, 1er avril également) et que le maire et les conseillers de la ville soutiendront la démarche.
Gaston Bernier
président de l'Asulf
Québec
mardi 14 avril 2009
La pérennité de la médiocrité
Le premier avril dernier, personne à L'Islet n'a couru le poisson d'avril. En effet, ce jour-là le poisson d'avril était plutôt une réalité qui a rattrapé la plupart des contribuables payeurs de taxes. Et depuis, que de plaintes, de lamentations, de jérémiades qu'on vient me confier sur l'augmentation de l'évaluation foncière influant et déterminant le compte de taxes.
L'augmentation totale du coût de la vie au cours des trois dernières années se situe à environ 8%. Mais l'augmentation de l'évaluation foncière cette année a bondi en moyenne de plus de 25% et ceci grâce à une loi féodale et archaïque et à des administrateurs qui se débattent pour rester dans l'insouciance.
Mais qui a élu certains de ces irresponsables à la tête de cette gabegie? Nuls autres que ceux qui la maudissent aujourd'hui et qui en 2003 et 2005 avaient opté pour le plan des médiocres. Comme je l'avais déclaré alors, suffisamment dupes pour se faire passer du baloney pour du filet mignon par un certain boucher. Cette vérité péremptoire vient les hanter aujourd'hui.
Que de plaintes j'entends sur le laxisme de cette administration: un demi-million en déneigement pour un camion qui se promène trop souvent pour rien comme la semaine dernière un jour de pluie... Des employés municipaux qui utilisent les camions pour leurs fins personnelles. Un terrain de balle inutilisé qui a coûté trois fortunes; pas un éléphant blanc, un éléphant sale. Même devant cette horreur trois de ses promoteurs sont toujours en poste, trop ignares pour savoir comment démissionner. Quelle farce! Et ce n'est là que la pointe de l'iceberg.
Gens de L'Islet, ne pleurez que sur vous-mêmes. La facture très élevée de votre félonie revient vous hanter en pleine récession. Sachez qu'à l'école de la vie, l'examen vient avant la leçon. Et cette leçon souvenez-vous de ne pas l'oublier car ceux qui oublient leurs erreurs sont condamnés à les répéter.
Marcellin Bélanger
Saint-Eugène, L'Islet
L'augmentation totale du coût de la vie au cours des trois dernières années se situe à environ 8%. Mais l'augmentation de l'évaluation foncière cette année a bondi en moyenne de plus de 25% et ceci grâce à une loi féodale et archaïque et à des administrateurs qui se débattent pour rester dans l'insouciance.
Mais qui a élu certains de ces irresponsables à la tête de cette gabegie? Nuls autres que ceux qui la maudissent aujourd'hui et qui en 2003 et 2005 avaient opté pour le plan des médiocres. Comme je l'avais déclaré alors, suffisamment dupes pour se faire passer du baloney pour du filet mignon par un certain boucher. Cette vérité péremptoire vient les hanter aujourd'hui.
Que de plaintes j'entends sur le laxisme de cette administration: un demi-million en déneigement pour un camion qui se promène trop souvent pour rien comme la semaine dernière un jour de pluie... Des employés municipaux qui utilisent les camions pour leurs fins personnelles. Un terrain de balle inutilisé qui a coûté trois fortunes; pas un éléphant blanc, un éléphant sale. Même devant cette horreur trois de ses promoteurs sont toujours en poste, trop ignares pour savoir comment démissionner. Quelle farce! Et ce n'est là que la pointe de l'iceberg.
Gens de L'Islet, ne pleurez que sur vous-mêmes. La facture très élevée de votre félonie revient vous hanter en pleine récession. Sachez qu'à l'école de la vie, l'examen vient avant la leçon. Et cette leçon souvenez-vous de ne pas l'oublier car ceux qui oublient leurs erreurs sont condamnés à les répéter.
Marcellin Bélanger
Saint-Eugène, L'Islet
Des moutons? Yes Sir!
Dans un article de Sylvain Fournier, on apprend que M. Gilles Gagné de Cap-Saint-Ignace devra abandonner son entreprise, causant la perte de quatre emplois.
Que la Commission de protection du territoire agricole lui refuse le droit de construire un nouveau bâtiment sur son terrain est monnaie courante au Québec, mais lui interdire de poursuivre l'entreprise qu'il opère depuis 15 ans dans le sous-sol de sa propre maison dépasse les bornes.
De toute évidence écoeuré, M. Gagné a simplement dû lancer la serviette devant ce bel exemple de stupidité bureaucratique.
Le plus désolant c'est qu'un tel évènement, qui devrait faire la une de tous les journaux, suscite peu de réactions. Après 40 ans de socialisme «nationaleux» au Québec où la propriété privée n'existe plus vraiment et où l'accumulation de capital privé, si modeste soit-il, est à peine tolérée, les Québécois semblent résignés à accepter ce type d'abus de pouvoir. Heureusement, on peut toujours se défouler sur les maudit Anglais qui nous oppriment...
François Picard
Saint-Aubert
Que la Commission de protection du territoire agricole lui refuse le droit de construire un nouveau bâtiment sur son terrain est monnaie courante au Québec, mais lui interdire de poursuivre l'entreprise qu'il opère depuis 15 ans dans le sous-sol de sa propre maison dépasse les bornes.
De toute évidence écoeuré, M. Gagné a simplement dû lancer la serviette devant ce bel exemple de stupidité bureaucratique.
Le plus désolant c'est qu'un tel évènement, qui devrait faire la une de tous les journaux, suscite peu de réactions. Après 40 ans de socialisme «nationaleux» au Québec où la propriété privée n'existe plus vraiment et où l'accumulation de capital privé, si modeste soit-il, est à peine tolérée, les Québécois semblent résignés à accepter ce type d'abus de pouvoir. Heureusement, on peut toujours se défouler sur les maudit Anglais qui nous oppriment...
François Picard
Saint-Aubert
mardi 7 avril 2009
Profonde reconnaissance pour votre dévouement
Au docteur Lavigne et à tout le personnel infirmier de l'Hôpital de Montmagny.
Je tiens, par les quelques lignes qui suivent, à remercier chaleureusement et surtout reconnaître le service hospitalier pour la grande qualité de son professionnalisme lors de mon hospitalisation au mois de novembre dernier.
Lorsque l'on se présente à l'hôpital c'est souvent pour des problèmes de santé, nous sommes donc dans une période de vulnérabilité sur le plan humain. Il est alors important que les gens qui nous traitent à titre de professionnels puissent nous offrir un service accueillant et surtout réconfortant. Le Dr Lavigne et les infirmières m'ont prodigué tous les soins de façon adéquate, consciencieuse et empreinte d'abnégation. Il y a peu de mots pour décrire le sens du devoir et de l'altruisme dont ces personnes ont fait preuve à mon endroit durant mon séjour hospitalier.
Je désire donc, Dr Lavigne et tout le personnel hospitalier, vous remercier pour votre dévouement, pour ce travail que vous accomplissez sans relâche. Il est évident que la qualité du travail effectué par vos services généreux et soutenus font de l'Hôpital de Montmagny un centre hospitalier régional de haute qualité, qui n'a rien à envier aux hôpitaux des grands centres urbains.
Encore une fois merci et chapeau à toute l'équipe soignante.
Gérard Raby
Saint-Paul-de-Montminy
Je tiens, par les quelques lignes qui suivent, à remercier chaleureusement et surtout reconnaître le service hospitalier pour la grande qualité de son professionnalisme lors de mon hospitalisation au mois de novembre dernier.
Lorsque l'on se présente à l'hôpital c'est souvent pour des problèmes de santé, nous sommes donc dans une période de vulnérabilité sur le plan humain. Il est alors important que les gens qui nous traitent à titre de professionnels puissent nous offrir un service accueillant et surtout réconfortant. Le Dr Lavigne et les infirmières m'ont prodigué tous les soins de façon adéquate, consciencieuse et empreinte d'abnégation. Il y a peu de mots pour décrire le sens du devoir et de l'altruisme dont ces personnes ont fait preuve à mon endroit durant mon séjour hospitalier.
Je désire donc, Dr Lavigne et tout le personnel hospitalier, vous remercier pour votre dévouement, pour ce travail que vous accomplissez sans relâche. Il est évident que la qualité du travail effectué par vos services généreux et soutenus font de l'Hôpital de Montmagny un centre hospitalier régional de haute qualité, qui n'a rien à envier aux hôpitaux des grands centres urbains.
Encore une fois merci et chapeau à toute l'équipe soignante.
Gérard Raby
Saint-Paul-de-Montminy
Merci à tous!
Par la présente, je tiens à remercier expressément le chef des pompiers, M. Denis Mercier, et tous les membres des corps de pompiers de la municipalité de Cap-Saint-Ignace qui m'ont secouru à l'occasion du sinistre qui a ravagé ma résidence, le 24 mars dernier.
Par la même occasion, je remercie grandement tous les membres des corps de pompiers de Montmagny et de L'Islet qui ont bien appuyé nos pompiers pendant cette opération.
Je remercie encore beaucoup mes voisins, M. Mario Boulet et son épouse Mme Sonia Mathurin, Mme Bernadette Després et mon cousin, Charles Fournier, pour leur aide précieuse.
Je remercie aussi mon oncle Martin Caron et ma tante Carmen Caron de m'avoir hébergé dans la circonstance.
À tous ceux-là et à tous les autres qui m'ont aidé et que j'ai pu oublier de nommer, un grand merci de votre générosité.
Sincèrement,
Jean-Yves Fournier
Cap-Saint-Ignace
Par la même occasion, je remercie grandement tous les membres des corps de pompiers de Montmagny et de L'Islet qui ont bien appuyé nos pompiers pendant cette opération.
Je remercie encore beaucoup mes voisins, M. Mario Boulet et son épouse Mme Sonia Mathurin, Mme Bernadette Després et mon cousin, Charles Fournier, pour leur aide précieuse.
Je remercie aussi mon oncle Martin Caron et ma tante Carmen Caron de m'avoir hébergé dans la circonstance.
À tous ceux-là et à tous les autres qui m'ont aidé et que j'ai pu oublier de nommer, un grand merci de votre générosité.
Sincèrement,
Jean-Yves Fournier
Cap-Saint-Ignace
Dans les coulisses du TDM
Les gens du Théâtre des Deux Masques ne s'ennuient pas! La troupe récolte allègrement prix, honneurs et contrats. On est allé voir d'un peu plus près comment ils s'y prenaient pour si bien réussir. Un mot nous vient tout de suite à l'esprit: RIGUEUR.
En répétition mardi soir à la salle François-Prévost, membres du Club Richelieu et du TDM s'affairaient à mettre au point leur prochaine pièce: Blanche-Neige et les 7 nains, façon Germain Boulet. On nous promet beaucoup de plaisir avec cette parodie du célèbre conte de Disney. J'émets un léger doute, la farce étant un genre ne m'inspirant guère, mais comme on m'explique que c'est ce qu'il y a de plus difficile à jouer techniquement et physiquement parlant, j'observerai la chose sous un nouvel angle. Les fonds générés par ce spectacle, présenté les 24-25 avril et 2-8-9-15-16 mai, seront investis dans la revitalisation des bibliothèques à Saint-Nicolas et Saint-Pie X. Chapeau! me voilà déjà plus enthousiaste.
Pendant ce temps à Casault...
Alors que je m'entretenais avec Noël Delisle, grand manitou du TDM, son élève dirigeait trois piliers de la troupe dans une scène du Pont de la survivance. Ce drame d'une rare intensité, premier prix rappelons-le au 5e concours Création-Production-Théâtre de la FQTA, sera joué les 13 et 14 juin. Un petit saut de leur côté et l'on est en mesure d'effectuer un premier constat, flagrant: Gabriel Gaudreau met dans sa mise en scène et la direction de comédiens la même rigueur - à la limite du perfectionnisme - dont fait preuve le maître que l'on vient tout juste de voir à l'œuvre. Quant aux interprètes, on sait déjà qu'ils y mettront tout leur talent et leur passion, trac pas trac. Mais combien d'heures ils auront investies avant de jouer devant public! Pas d'erreur, faut avoir le théâtre tatoué sur le cœur.
Une relève bienvenue
M. Delisle me confiait qu'il était très heureux de partager la tâche avec Gabriel. Le seul fait qu'il le laisse diriger la pièce de Catherine Chevrot est déjà une grande preuve de confiance. Et puis il y a Marc Fréchette, déjà en charge des contes et légendes et de l'animation lors de certaines activités, qui commence à tâter de la mise en scène. Noël Delisle (personnalité Richelieu 2009) en a tellement plein les bras qu'il a dû mettre de côté pour l'instant La Cantatrice chauve de Ionesco.
Le tour des îles
Fin août, le TDM et la troupe Nouvelle Époque seront à Grosse Île. Monologues, danse et contes inédits liés à l'île de la quarantaine et à l'archipel de l'Isle-aux-Grues figurent au programme.
Seule troupe québécoise sélectionnée
Quelque 25 membres du TDM prendront la route en septembre pour le Festival international de théâtre de Mont-Laurier. Ils y joueront la pièce 10e anniversaire «Nous sommes tous des clowns». Fallait être drôlement solide pour se qualifier à l'événement Double Défi qui réunira 27 troupes en provenance de 24 pays.
Si l'agriculture m'était contée
Enfin, pour clore en beauté cette année 2009 pour le moins chargée, le Théâtre des Deux Masques offrira en octobre et novembre un spectacle original visant à souligner le 150e anniversaire de la Société d'agriculture du comté de Montmagny.
En répétition mardi soir à la salle François-Prévost, membres du Club Richelieu et du TDM s'affairaient à mettre au point leur prochaine pièce: Blanche-Neige et les 7 nains, façon Germain Boulet. On nous promet beaucoup de plaisir avec cette parodie du célèbre conte de Disney. J'émets un léger doute, la farce étant un genre ne m'inspirant guère, mais comme on m'explique que c'est ce qu'il y a de plus difficile à jouer techniquement et physiquement parlant, j'observerai la chose sous un nouvel angle. Les fonds générés par ce spectacle, présenté les 24-25 avril et 2-8-9-15-16 mai, seront investis dans la revitalisation des bibliothèques à Saint-Nicolas et Saint-Pie X. Chapeau! me voilà déjà plus enthousiaste.
Pendant ce temps à Casault...
Alors que je m'entretenais avec Noël Delisle, grand manitou du TDM, son élève dirigeait trois piliers de la troupe dans une scène du Pont de la survivance. Ce drame d'une rare intensité, premier prix rappelons-le au 5e concours Création-Production-Théâtre de la FQTA, sera joué les 13 et 14 juin. Un petit saut de leur côté et l'on est en mesure d'effectuer un premier constat, flagrant: Gabriel Gaudreau met dans sa mise en scène et la direction de comédiens la même rigueur - à la limite du perfectionnisme - dont fait preuve le maître que l'on vient tout juste de voir à l'œuvre. Quant aux interprètes, on sait déjà qu'ils y mettront tout leur talent et leur passion, trac pas trac. Mais combien d'heures ils auront investies avant de jouer devant public! Pas d'erreur, faut avoir le théâtre tatoué sur le cœur.
Une relève bienvenue
M. Delisle me confiait qu'il était très heureux de partager la tâche avec Gabriel. Le seul fait qu'il le laisse diriger la pièce de Catherine Chevrot est déjà une grande preuve de confiance. Et puis il y a Marc Fréchette, déjà en charge des contes et légendes et de l'animation lors de certaines activités, qui commence à tâter de la mise en scène. Noël Delisle (personnalité Richelieu 2009) en a tellement plein les bras qu'il a dû mettre de côté pour l'instant La Cantatrice chauve de Ionesco.
Le tour des îles
Fin août, le TDM et la troupe Nouvelle Époque seront à Grosse Île. Monologues, danse et contes inédits liés à l'île de la quarantaine et à l'archipel de l'Isle-aux-Grues figurent au programme.
Seule troupe québécoise sélectionnée
Quelque 25 membres du TDM prendront la route en septembre pour le Festival international de théâtre de Mont-Laurier. Ils y joueront la pièce 10e anniversaire «Nous sommes tous des clowns». Fallait être drôlement solide pour se qualifier à l'événement Double Défi qui réunira 27 troupes en provenance de 24 pays.
Si l'agriculture m'était contée
Enfin, pour clore en beauté cette année 2009 pour le moins chargée, le Théâtre des Deux Masques offrira en octobre et novembre un spectacle original visant à souligner le 150e anniversaire de la Société d'agriculture du comté de Montmagny.
Inscription à :
Articles (Atom)